Nom et prénom: Charlotte Mortimer
Age du personnage: 21 ans
Race: humaine
Physique: Charlotte est grande, svelte et musclée, mais sa musculature est très raisonnable, rien de disgrâcieux dans sa silhouette. Elle a les cheveux châtains, les yeux marrons, des lèvres charnues et les traits anguleux.
Caractère: C'est une solitaire, elle aime la mode et a une tendance à être snob. Elle est très observatrice et fine psychologue, et se trouve aussi être cynique et sarcastique, parfois trop. Le tout faisant qu'elle n'a pas d'amis à Juneau.
Voitures :
une Audi TT coupé de 2006, peinture noir fantôme nacré, qu'elle utilise pour se rendre à l'université
une Audi R8 de couleur argentune Ford Gran Torino blanche
une Corvette Z06Cours suivis : Ethnologie, Psychologie et Sciences du Paranormal
5 choses qu'elle aime faire:
- S'allonger dans l'herbe en écoutant de la musique
- Ecouter les conversations des autres, les observer
- Conduire, vite, seule sur les routes désertes (ou presque) de l'Alaska
- Ecrire pendant si longtemps qu'elle en a mal à la main
- Flâner près des salles de musique de la fac
La musique qu'elle écoute :
The Strokes, Kaiser Chiefs, Kasabian, Justice, Coldplay, Amy Winehouse, le Boléro de Ravel, la Marche Turque de Mozart, ...
Ses livres et auteurs favoris :
Shakespeare
Wilde
Hoffman
Dracula, de Bram Stoker
1984, de George Orwell
Histoire:
Elle a grandi avec son père Dale, en Angleterre ; sa mère n'a pas connu l'instinct maternel, ou en tout cas pas avec elle, et a quitté l'Angleterre alors que Charlotte n'avait pas encore un an.
Sa vie a été relativement normale, Dale étant un bon père, et elle-même n'ayant pas connu sa mère, cette dernière ne lui a jamais manquée. Pendant des années, Dale avait pour compagne avec une femme charmante, pas une mégère de belle-mère, mais elle a aussi fini par le quitter. Dale a enchaîné avec sa crise de la quarantaine et enchaîne les conquêtes depuis 3 ou 4 ans.
La grand mère maternelle de Charlotte, même si elles ne sont pas connues, est décédée 2 ans auparavant, et lui a légué une somme la mettant à l'abri de tout besoin pendant un certain temps, ainsi qu'une maison près de l'université, pour laquelle elle cherche 1 ou 2 colocataires, l'entretien de la maison étant trop énorme pour elle seule. Avantage non négligeable de la maison : l'immense garage en sous sol, à deux niveaux.
Pour son avenir : Plan A, monter un groupe, et en être la chanteuse, peut-être écrire des chansons, mais en fuyant toute amitié, c'est mal barré pour le moment.
Plan B, publier ses nouvelles sur les vampires (ses rêves en sont peuplés et l'inspirent).
Partie Rp:
Charlotte gara sa voiture dans le parking fermé, avec une voiture pareille, pas question de prendre le moindre risque inutile. En semaine, elle venait tous les après-midi sur le campus, même si elle n'allait pas en cours. Les autres élèves étaient vraiment intéressants, à la fois prévisibles et curieux. Elle se disait parfois qu'elle était en safari, ce qui avait le mérite de la faire sourire. Elle marcha tranquillement jusqu'aux salles de musique et se posta sous la fenêtre de l'une d'elles, s'asseyant par terre et s'adossant au mur, non sans avoir jeté un rapide coup d'oeil pour voir qui l'occupait. Un beau garçon, l'air très concentré, jouait de la guitare. C'était un morceau calme, apparemment une composition personnelle puisqu'il revenait sans cesse en arrière en modifiant, remodifiant, remodelant, les notes et les accords.
Elle se laissa porter par la musique, pensive et songea à ce que lui avait dit son père dans son dernier mail. "Si tu veux trouver des colocs, il va falloir t'ouvrir un minimum aux autres chérie, et pas pour les étudier comme des animaux de labo." Il n'avait pas tort. Charlotte savait bien que pour que personne ne veuille emménager alors qu'il n'y avait pas de loyer, c'est que quelque chose clochait. Et connaissant plutôt bien sa maison, elle savait que ce n'était pas ça. Donc c'était elle. Sa froideur, sa condescendance apparente n'étaient pas très engageants.*Il faut que je change. Un peu. Et puis après tout, s'ouvrir aux autres ne signifie pas s'ouvrir à n'importe qui.*Elle entreprit donc de se servir de ses "observations" pour choisir ses futurs colocataires.Question subsidiaire:
Vérifié par Rosalie Hale